Du géant de la logistique au créateur d’univers

Comment une entreprise de l’ombre lance aujourd’hui son tout premier spectacle mondial

Pendant plus d’une décennie, Asterion a été un acteurs influents et invisible du monde du divertissement. Ni producteur, ni diffuseur, ni star du petit écran : Asterion était l’entreprise qui construisait l’impossible pour les autres.

Festivals monumentaux, tournages extrêmes, plateaux de cinéma démesurés, décors réalistes sans trucages… Si un événement semblait irréalisable, les studios appelaient Asterion.

De la neige artificielle à la jungle modulaire, du temple en ruines aux cités futuristes à taille réelle,
Asterion concevait des environnements authentiques, physiques, utilisables par les acteurs et les caméras sans retours numériques. C’est cette expertise unique qui a fait sa fortune.

Aujourd’hui, pour la première fois, Asterion ne se cache plus dans les coulisses et devient le créateur d’un spectacle à part entière : sa toute première émission de téléréalité, Le Neuvième Passage.

Un empire né des infrastructures

Contrairement aux studios traditionnels, Asterion n’a jamais misé sur des effets spéciaux numériques.
Sa force repose sur :

• des ateliers capables de construire des décors gigantesques en quelques jours,

• des équipes d’ingénieurs spécialisés dans les structures mobiles, les plateformes rotatives, et les environnements aquatiques complexes

• des solutions de logistique lourde rarement égalées,

• des sculpteurs, menuisiers, costumiers et techniciens hyper spécialisés,

• une capacité à créer des mondes entiers en dur, grandeur nature.
  

C’est cette approche du “tout réel à portée de main” qui a séduit les plus grands réalisateurs, puis les plus grandes chaînes de télévision. Mais jamais Asterion n’avait envisagé de produire son propre programme.
Jusqu’à aujourd’hui.

Le Neuvième Passage : leur première création originale

Plutôt que de produire une émission classique, Asterion a choisi de lancer un projet à son image :
massif, concret, immersif, architectural, pensé comme une expérience totale.

Le Neuvième Passage rassemble toutes les compétences de l’entreprise :

• décors modulaires sans trucages,

• environnements à échelle réelle (forêts suspendues, temples submergés, villes détruites…),

• ingénierie de plateau,

• effets mécaniques sophistiqués,

• équipes de figurants spécialisés,

• logique de parcours, de défi et d’immersion.

C’est un “donjon” moderne, pensé comme une succession d’univers tangibles.

Asterion promet “un niveau de réalisme jamais vu dans une émission”.

Et dans leur cas… ce n’est pas un slogan marketing, c’est littéralement leur métier.

Léandro Seline : le fondateur discret devenu figure publique

À la tête d’Asterion, on trouve son fondateur :
Léandro Seline, ingénieur en structures et entrepreneur visionnaire.

Pendant des années, Seline est resté dans l’ombre de ses créations :
si les décors fonctionnaient, on ne devait jamais penser à ceux qui les avaient construits.

Aujourd’hui, il accepte enfin la lumière—non pas par goût du public, mais parce que le Neuvième Passage est le premier projet dont il revendique pleinement la paternité artistique.

Seline est connu pour :

• son obsession du réalisme,

• son refus du numérique,

• son goût pour les environnements qui “mettent le corps à l’épreuve”,

• sa conviction que “rien ne remplace un vrai mur, une vraie température, un vrai poids”.
  

Ses collaborateurs le décrivent comme brillant, exigeant, passionné,
parfois déconcertant dans sa façon de concevoir le divertissement comme une expérience physique autant que visuelle.

Le Neuvième Passage marque un tournant pour Asterion que Seline présente comme “l’étape logique” de l’évolution de sa société : passer de la construction de mondes… à la construction d’histoires.

Une chose est sûre, c'est que pour un premier projet, ils n’ont pas choisi la simplicité.